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Des millions d’enfants en danger dès la naissance

Accidents domestiques

Maladie

Malnutrition

Surexposition aux écrans

Négligence

Maltraitance

accidents, malnutrition, maltraitance
De plus en plus de femmes, qui avaient traditionnellement la responsabilité de s’occuper de leurs bébés, doivent subvenir aux besoins de leur famille. Au Cambodge, elles sont nombreuses à travailler en usine et à se résoudre à laisser leurs enfants, parfois la semaine entière, à des grands-parents qu’elles disent « dépassés ». Elles s’inquiètent de repas inadaptés, de petits laissés seuls dans la cour…

De jeunes filles-mères burkinabè vivent des situations encore plus dramatiques. Rejetées par leurs familles, elles se retrouvent souvent à travailler la nuit. Certaines administrent des somnifères à leurs bébés pour s’assurer qu’ils dorment en leur absence.

 

Surexposition aux écrans, anxiété et retards de développement
Après un parcours migratoire au péril de leur vie, des familles se retrouvent en France hébergées dans des hôtels sociaux, dans une seule et même chambre, pendant parfois de longues années. Les plus petits, qui ne vont ni à la crèche, ni à l’école, passent toute la journée dans cet espace réduit, souvent surexposés aux écrans. 80% de ces familles sont des femmes seules avec leurs enfants, qui rencontrent des difficultés à s’inscrire dans un projet professionnel.

A des milliers de kilomètres, la situation est assez similaire. Des familles vietnamiennes venant des campagnes les plus pauvres ont rejoint la ville dans l’espoir d’une vie meilleure. Elles se retrouvent finalement à cumuler les petits boulots mal payés – comme collecteurs de déchets recyclables ou vendeurs de billets de loterie. Beaucoup d’enfants sont livrés à eux-mêmes ou contraints aussi de travailler pour nourrir la famille.

maladies et accidents

Beaucoup d’écoles maternelles au Burkina Faso sont surpeuplées avec 50 à 60 enfants par classe. Elles sont aussi ouvertes sur l’extérieur laissant entrer animaux errants et véhicules, sans toilettes, lavabos ou eau potable… Cette situation met en danger physique les enfants et effraie les parents.

Au Népal, les classes maternelles sont souvent intégrées dans l’école primaire. Les institutrices et instituteurs ont rarement de jeux et jouets et n’ont pas été formés pour s’occuper des plus petits. De nombreux parents ne font plus l’effort d’emmener leurs enfants à l’école. Dans les zones reculées, ces mêmes parents ne savent pas toujours comment répondre aux besoins de soins et d’éveil des tout-petits.

Ces menaces nuisent au bon développement des tout-petits et creusent les inégalités très tôt :

motricité tardive, retard de langage, troubles du sommeil, anxiété, comportements agressifs…

Durant ses 3 000 premiers jours, le cerveau de l’enfant se développe très vite. L’enfant a besoin de soins, d’interactions et de construire une relation avec ses parents et ses éducateurs pour profiter du meilleur développement possible.

Notre priorité :

 

Agir dès le plus jeune âge, pour protéger et éduquer tous les enfants

Contre les accidents, la malnutrition, la maltraitance : Des crèches abordables

Nous souhaitons proposer des modes de garde sécurisés :

multiplier les crèches abordables avec des auxiliaires Petite Enfance formées, des repas équilibrés, des bilans de santé mensuels et rendre ces crèches autonomes.

Mais aussi accompagner des jeunes femmes isolées à changer de métier et offrir des places en crèche à leurs enfants.

Contre la surexposition aux écrans, l’anxiété et les retards de développement : Des ateliers avec les enfants et les parents

Nous souhaitons proposer à Paris une mini-crèche pour les enfants de 6 mois à 3 ans, au sein d’un centre social, pendant que les parents y suivent un parcours de formation (en partenariat avec Emmaüs Connect).

Nous souhaitons aussi offrir, au sein des centres sociaux où sont soutenues les familles vietnamiennes, des ateliers de jeux enfants-parents, des consultations de santé et des conseils de parentalité

Contre les maladies et les accidents : Des écoles maternelles sécurisées et des parents mieux informés

Nous souhaitons poursuivre la formation d’enseignants en maternelle et leur coaching en classe, mais aussi équiper des écoles en jeux et jouets.

En parallèle, nous souhaitons informer les parents sur les étapes de développement des tout-petits et l’importance de la nutrition, l’éveil ou encore les interactions, par des sessions de soutien en parentalité.

Il est urgent de protéger les enfants face à ces menaces

Avec 20€,

vous financez le bilan de santé mensuel des enfants au sein d’une crèche au Cambodge, par exemple.

Soit 7€ après réduction d’impôts.

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Avec 60€,

vous offrez un lot de livres, puzzle, ballons, instruments de musique à une classe maternelle au Népal, par exemple.

Soit 20€ après réduction d’impôts.

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Avec 95€,

vous financez une séance  d’atelier de jeux parents-enfants dans un centre social au Vietnam, par exemple.

Soit 32€ après réduction d’impôts.

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Avec 150€,

vous offrez à une fille-mère isolée, une place en crèche pour son bébé pendant 1 an, par exemple.

Soit 51€ après réduction d’impôts.

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